Parmi les antimildiou et anti-oïdium, beaucoup sont très spécifiques de leur pathogène, ce qui favorise le développement de résistances mais les rend compatibles avec les attentes sociétales. Ce travail aborde les voies d’amélioration des programmes de gestion de ces bioagresseurs en place. Il a permis de dresser un bilan sur le rôle des différents acteurs dans la gestion des résistances et les points de blocage.

 Rapport stage 3ème année ingénieur

L’email a bien été copié