L’association de cultures pourrait répondre à de nombreux enjeux de durabilité actuels. La culture de plusieurs espèces ou variétés au sein d’une même parcelle a, à plusieurs reprises, démontré sa capacité à limiter l’impact des bioagresseurs, à stabiliser les rendements, à encourager la biodiversité,…

Les mécanismes à l’origine de ces bienfaits se déroulent à plusieurs échelles. Au niveau de la parcelle, on identifie des phénomènes physiques (effet barrière et dilution) et génétiques (sélection diversifiante). Cette fiche présente les processus à l’échelle d’un couple de plantes et tentera de répondre aux questions suivantes :

Quels types d’interactions entrent en jeu dans l’acquisition d’une résistance face aux bioagresseurs?

Quelles sont les molécules impliquées?

Pourquoi, malgré leurs promesses, les cultures associées peinent à être adoptées?

Comment imaginer un levier de recherche permettant d’abaisser les freins à leur utilisation?

Fiche technique

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